Patrick Botter Auteur Photographique

Portraits de famille : le dernier né

Cette série est construite comme un miroir pour les observateurs. Ici le regard porté sur la photographie compte moins que ce qu’elle nous renvoie. La photographie nous observe et nous donne à lire une image de ce que nous sommes profondément : des êtres enfermés dans nos certitudes sans liberté réelle, désuets, obsolètes et courant au déclin, à l’extinction. Le côté animal, cette partie intime de ce que nous sommes, mais incapables de l’assumer certains de notre supériorité, est exposé de fa1 Cette série est construite comme un miroir pour les observateurs. Ici le regard porté sur la photographie compte moins que ce qu’elle nous renvoie. La photographie nous observe et nous donne à lire une image de ce que nous sommes profondément : des êtres enfermés dans nos certitudes sans liberté réelle, désuets, obsolètes et courant au déclin, à l’extinction.

Le côté animal, cette partie intime de ce que nous sommes, mais incapables de l’assumer certains de notre supériorité, est exposé de façon risible, ridicule. Et pourtant c’est notre seule planche de salut.

Si le dernier né n’accepte pas la transformation il sera l’ultime.
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